le blog de ma construction ...

Pour le bateau, les réparations sont simples: un peu de vernis et de peinture. L'aileron a tout pris et il est costaud.
Pour la remorque, je vais essayer de trouvera une nouvelle plaque de feux.

Et puis je la mettrai bien en évidence derrière le bateau ...

pour la plaque neuve,fais gaffe à la longueur du cable,et à la prise car j'en ai déjà vu en 13 broches

Antoine

Si je peux te donner un conseil,
Prends une plaque de contre plaqué épaisse que tu feras tenir en l'emboitant sur les aiguillots du tableau arrière avec des petits tubes adaptés sur cette plaque de contre plaqué tu fixes tes nouveaux feux et tu la fais un peu haute (qui dépasse du tableau) pour faire une encoche dans laquelle vient se glisser le mat le fil électrique ensuite courra sur le bateau jusqu'à l'attache devant.

les trous dans la plaque en haut c'est pour le sandow et en bas c'est pour passer les doigts et déverrouiller le linguet de l'aiguillot.

Trop fort Cyrille !

Je reviens sur la question des appendices.
En quel bois il vaut mieux construire le safran. J'ai compris que le CP ce n'est pas idéal car la moitié du bois ne travaille pas dans le bon sens. Mais en bois massif, quel bois privilégier qui soit bien rigide mais léger ?
Sinon un CP en sappeli, ça devrait être assez solide, non ?

Remarque qu'il n'y a pas une grosse différence de densité entre ces bois : 750kg/m3 pour le silo, 650 pour le sappeli. Mais ça fait quand même une différence de 400 gr sur un safran. L'Okoumé est bien plus léger à 440.

Une autre question concernant la dérive. La mienne s'abîme dans le puits de dérive (en bas à l'angle de la coque). Quelle est la technique pour protéger à cet endroit et comment faire pour que la lame de la dérive soit renforcée, moins sensible aux chocs ?

Merci, merci

AntoineV écrit:
Une autre question concernant la dérive. La mienne s'abîme dans le puits de dérive (en bas à l'angle de la coque).
Quelle est la technique pour protéger à cet endroit et comment faire pour que la lame de la dérive soit renforcée, moins sensible aux chocs ?

Merci, merci

Naviguant en eau douce sur un lac landais, ma dérive est marquée par des chocs avec divers poissons (carpes, sandres, brochets etc...) :oops:

j'ai protégé le bord d'attaque en ajoutant une bande de résine époxy chargée au woodfill (sciure de bois), le tout recouvert de vernis polyurethane.

ça semble bien résister aux chocs jusqu'à présent :specool:

Salut Antoine. Pour éviter que la dérive ne s'abime il faut mettre quelque protection dans le puit de dérive.

J'ai mis un tuyau d'arrosage a l'avant du puit, et un petit patin a l'arrière du puit en bas qui évite que le bord de fuite de la dérive ne s'abime. Exemple :
www.paris-voile.com/accessoires-safran-barre-optimist/3152-kit-proctection-de-derive.html?search_query=protection+derive&results=69

Pour le safran je ne suis pas expert en essence de bois, il ne faut pas que ce soit exagérément souple quand tu appuie dessus. Si c'est un bois rouge il ne doit pas y avoir de problème !

Je t'ai posté quelques docc

Antoine tu peux faire ta lame de safran avec du "red cedar" le bord d'attaque étant fait en frêne ainsi que le bord de fuite puis tu stratifie le tout avec un taffetas de verre époxy.

Je reviens avec quelques nouvelles de mon safran.
Finalement ce sont 2 safran :
- un safran fixe en sipo avec barre aluminium
- un safran pivotant en sipo avec joues en CP okoumé et barre en sipo (merci Patrice pour le plan)

C'est plus lourd que le précédent mais ça devrait être plus costaud.

Tu peux deja gagner quelques grammes ici (en PJ)
(et des embêtements si l'ecoute de GV venait à se coincer dedans..)

Une question en passant : quelle est la bonne distance entre l'axe du pied et mât et l’étambrai ?
Il n'y a rien dans la jauge là dessus

Merci !

Justement, c'est un réglage personnel et que bcp gardent secret...
Il y a juste une distance globale entre le tableau AR et la face avant du mat ou se fait le réglage .

Mais les mordus de, vont compléter...

Ah ! J'ai touché un point intéressant alors. Ça se fait en tâtonnant ? Ou bien il y a des paramètres à prendre en considération : espace pour les cales, cintrage du mat, ... ?

Lors du National au près, mon hauban sous le vent était mou. C'est juste une question d'étarcage du foc ou ça a rapport avec la position du mat ?

AntoineV écrit: Ah ! J'ai touché un point intéressant alors. Ça se fait en tâtonnant ? Ou bien il y a des paramètres à prendre en considération : espace pour les cales, cintrage du mat, ... ?

Lors du National au près, mon hauban sous le vent était mou. C'est juste une question d'étarcage du foc ou ça a rapport avec la position du mat ?

Il y a cet excellent post de Thibault (pour une fois) :

www.asvaurien.fr/forum/18-astuces-dequipement/25623-bases-de-reglage-du-mat

Je reviens sur une question récurrente : c'est quoi le budgets de construction de mon Vauriens (qui respecte assez fidèlement les plans proposés par l'association). Pour le cout se décompose ainsi :

Outils et matériel : 420 €
Bois (CP Okoumé marine et Sipo) : 1820 €
Peinture, colle, vernis : 610 €
Accastillage : 900 €
Tauds dessus, dessous : 410 €
Mat, bôme, tangon, gréement : 1320 €
Voiles (GV, foc, spi) : 1110 €
Remorque combinée : 1040 €

Soit un budgets total de 7600 € environ et je n'ai pas le sentiment d'avoir gaspillé ou d'avoir choisi les matériaux et équipements les plus chers.
Après les dépenses ne s'arrêtent pas. Il y a toujours de l'entretien, des équipements améliorés ou supplémentaires.


En ce qui concerne le temps, je suis environ à 600 heures (non facturées). Je vous épargne leur répartition, vous avez suivi la construction.

Donc, par rapport au document Argus du Vaurien,
un vaurien bois devrait valloir beaucoup plus !! :cafe:
OU il devrait y avoir une catégorie spéciale pour les vauriens bois à létat de conservation exceptionnel (collection) ou neufs, non ? :dive:

lmo écrit: Argus du Vaurien

C'est un peu hors sujet, mais à quoi fais-tu référence ?